11-04-2012, 07:37 PM
(Modification du message : 11-04-2012, 08:09 PM par LolaFleurie.)
@ Mathilde :
Moi, en tout cas, je peux te donner mon avis ici, déjà. Mon avis du jour, influencé par un état de perplexité inhabituel.
A toi de faire la part des choses.
Nous en parlions sur un autre fil, à la suite de commentaires critiques sur une vidéo ("un de plus parmi vous" de Alexandre) : il y a fort à parier que la candidose ne soit pas une maladie en soi mais un dérèglement signifiant. Elle serait donc le fruit d'une compensation, d'une forme de résistance du corps face à une autre maladie, un autre dysfonctionnement. Le signe que le corps fait son travail de nettoyage et développe des bactéries (pas celles qu'on voudrait hélas) pour éliminer.
C'est là que ça se complique parce que, tous ici, si nous avons ce symptôme magistral en commun, cela ne veut pas dire effectivement que nous sommes, à l'origine, atteints par la même maladie et ce, même si nous avons plusieurs symptômes en commun.
Par exemple, j'ai de toute évidence de nombreux symptômes d'une maladie chronique et réactive : yeux rouges irrités, dermatite à la limite du symptôme nerveux (plus je gratte plus elle démange) qui s'étend progressivement, diarrhées, symptômes neurologiques toujours plus envahissants, aujourd'hui gorge brûlante, éternuements et écoulements nasaux... etc. Et surtout une candidose de plus en plus avancée.
Tous ces symptômes sont communs à n'importe quelle intoxication (empoisonnement) grave ; ça va de l'empoisonnement violent (un poison qu'on aurait fortuitement absorbé, genre une omelette aux amanites phalloïdes par exemple, enfin je ne sais pas, j'imagine...) à tout autre empoisonnement : métaux lourds, caséine, gluten... en passant par les maladies auto-immunes qui détectent les cellules du corps comme un ennemi et induisent le corps durablement en erreur... le mettant ainsi en guerre perpétuelle contre un ennemi imaginaire...
Pour moi, aujourd'hui, se dessine peut-être davantage le profil de la maladie cœliaque (même si, finalement, je -enfin "nous" avec le médecin- n'excluons pas une rectocolite ou une maladie de Crohn, qui présentent des symptômes assez identiques quand on traîne ces maladies un peu trop longtemps sans les déceler).
Or, il existe un nombre incalculable de maladies allergiques et/ou auto-immunes qui pourraient être révélées par une candidose.
Dommage, d'ailleurs, que les médecins, en dehors du Sida, s'obstinent à ne pas prendre en compte ces manifestations mycosiques généralisées qu'ils jugent sans importance : ça leur éviteraient sûrement de passer à côté de diagnostics évidents, parfois.
Je dis ça parce que je pense à un cas de sclérose en plaques et un autre de diabète de type II, que les médecins ont mis des années à valider et qui ont pourtant commencé par des mycoses de plus en plus envahissantes. Et mes amies auraient vraiment eu besoin d'être comprises plus tôt, d'être prises en charge psychologiquement et physiquement à la mesure de leurs besoins : un temps précieux et leur énergie ont été affreusement gaspillés.
Vois la candidose pour ce qu'elle est : la preuve que ton corps lutte contre je ne sais quel poison qu'il n'arrive plus à éliminer, et insiste auprès de ton médecin pour qu'il y voit juste de quoi chercher la source. Tu guériras de la candidose quand vous aurez trouvé la cause précise de TA candidose à toi, et que vous vous attaquerez à ces causes qui sont les tiennes.
Mais, comme l'alimentation, dans les maladies en rapport avec une quelconque intoxication, a son importance non négligeable, eh bien... en attendant, offre le meilleur à ton corps, il en a besoin. C'est tout. Pas plus compliqué que ça.
Alors, j'ai envie de répondre plus simplement à ta question ainsi : oui, tu guériras de ta candidose si elle est causée par une maladie dont on guérit, mais tu n'en guériras pas si elle est causée par une maladie incurable. Et c'est tant mieux (que tu n'en guérisses pas), parce que lorsque le candida s'arrêtera de lutter, ce sera vraiment mauvais signe. Façon optimiste de voir cet hôte parfois très mal élevé prendre ses aises en nous.
C'est là l'idée que je me fais de la chose. Et toi, alors, tu en penses quoi ?
@ Max : Merci, mon gars, me voilà ré-équipée pour "prolixer" lisiblement.
Moi, en tout cas, je peux te donner mon avis ici, déjà. Mon avis du jour, influencé par un état de perplexité inhabituel.
A toi de faire la part des choses.Nous en parlions sur un autre fil, à la suite de commentaires critiques sur une vidéo ("un de plus parmi vous" de Alexandre) : il y a fort à parier que la candidose ne soit pas une maladie en soi mais un dérèglement signifiant. Elle serait donc le fruit d'une compensation, d'une forme de résistance du corps face à une autre maladie, un autre dysfonctionnement. Le signe que le corps fait son travail de nettoyage et développe des bactéries (pas celles qu'on voudrait hélas) pour éliminer.
C'est là que ça se complique parce que, tous ici, si nous avons ce symptôme magistral en commun, cela ne veut pas dire effectivement que nous sommes, à l'origine, atteints par la même maladie et ce, même si nous avons plusieurs symptômes en commun.
Par exemple, j'ai de toute évidence de nombreux symptômes d'une maladie chronique et réactive : yeux rouges irrités, dermatite à la limite du symptôme nerveux (plus je gratte plus elle démange) qui s'étend progressivement, diarrhées, symptômes neurologiques toujours plus envahissants, aujourd'hui gorge brûlante, éternuements et écoulements nasaux... etc. Et surtout une candidose de plus en plus avancée.
Tous ces symptômes sont communs à n'importe quelle intoxication (empoisonnement) grave ; ça va de l'empoisonnement violent (un poison qu'on aurait fortuitement absorbé, genre une omelette aux amanites phalloïdes par exemple, enfin je ne sais pas, j'imagine...) à tout autre empoisonnement : métaux lourds, caséine, gluten... en passant par les maladies auto-immunes qui détectent les cellules du corps comme un ennemi et induisent le corps durablement en erreur... le mettant ainsi en guerre perpétuelle contre un ennemi imaginaire...
Pour moi, aujourd'hui, se dessine peut-être davantage le profil de la maladie cœliaque (même si, finalement, je -enfin "nous" avec le médecin- n'excluons pas une rectocolite ou une maladie de Crohn, qui présentent des symptômes assez identiques quand on traîne ces maladies un peu trop longtemps sans les déceler).
Or, il existe un nombre incalculable de maladies allergiques et/ou auto-immunes qui pourraient être révélées par une candidose.
Dommage, d'ailleurs, que les médecins, en dehors du Sida, s'obstinent à ne pas prendre en compte ces manifestations mycosiques généralisées qu'ils jugent sans importance : ça leur éviteraient sûrement de passer à côté de diagnostics évidents, parfois.
Je dis ça parce que je pense à un cas de sclérose en plaques et un autre de diabète de type II, que les médecins ont mis des années à valider et qui ont pourtant commencé par des mycoses de plus en plus envahissantes. Et mes amies auraient vraiment eu besoin d'être comprises plus tôt, d'être prises en charge psychologiquement et physiquement à la mesure de leurs besoins : un temps précieux et leur énergie ont été affreusement gaspillés.
Vois la candidose pour ce qu'elle est : la preuve que ton corps lutte contre je ne sais quel poison qu'il n'arrive plus à éliminer, et insiste auprès de ton médecin pour qu'il y voit juste de quoi chercher la source. Tu guériras de la candidose quand vous aurez trouvé la cause précise de TA candidose à toi, et que vous vous attaquerez à ces causes qui sont les tiennes.
Mais, comme l'alimentation, dans les maladies en rapport avec une quelconque intoxication, a son importance non négligeable, eh bien... en attendant, offre le meilleur à ton corps, il en a besoin. C'est tout. Pas plus compliqué que ça.
Alors, j'ai envie de répondre plus simplement à ta question ainsi : oui, tu guériras de ta candidose si elle est causée par une maladie dont on guérit, mais tu n'en guériras pas si elle est causée par une maladie incurable. Et c'est tant mieux (que tu n'en guérisses pas), parce que lorsque le candida s'arrêtera de lutter, ce sera vraiment mauvais signe. Façon optimiste de voir cet hôte parfois très mal élevé prendre ses aises en nous.
C'est là l'idée que je me fais de la chose. Et toi, alors, tu en penses quoi ?
@ Max : Merci, mon gars, me voilà ré-équipée pour "prolixer" lisiblement.